ARMELLE
A utrement je voudrais tant t’aimer autrement
R ésister au regard de tes yeux qui me touchent
M ourir dans le parfum éffaré d’un tourment
E t renaître épuisé d’avoir baisé ta bouche
L ‘amour qui nous ressemble a des accents farouches
L e tempo de nos coeurs vaut bien tous les serments
E t l’accord de nos corps parfait éperdument