HACHOUMA
H onte à moi de n’avoir pas chanté ta beauté
A uras tu la bonté de ne pas m’en vouloir ?
C omme ces beaux oiseaux qui passent sans nous voir
H armonieux dans leur vol, si haut, hors de portée
O uvres moi dans l’azur un sillon où te suivre
U n paradis perdu au-delà de l’ivresse
M ontres-moi le chemin où je pourrais te suivre
A u pays de l’amour où tout n’est que caresses
retour à l'accueil retour à la liste des poèmes