JEAN BAPTISTE

 

 

 

          


 

    J e t'aime, oui et ces mots que je crie que je beugle

    E ntraînent ma raison tout au fond d'un tiroir

    A tout ceux qui vous disent que l'amour rend aveugle

    N e leur conseillez pas de s'offrir un miroir


 

    B éni soit le printemps qui ravive nos sèves

    A u plus profond de nous et qui nous fait frémir

    P risons cette folie qui enflamme nos rêves

    T out au bout de la nuit jusqu'à n'en plus dormir

     I l n'est de sentiment plus magique et plus fort

    S oulevant nos pensées comme des alizés

    T oi qui m'aimes et que j'aime sans honte et sans effort

    E treins moi dans tes bras je veux être grisée

 

 

 


 

 

                 

 

 

 

 

 

 

 


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