MORGANE
M ême la nuit tu brilles comme un soleil d’été.
O ù peux tu t’habiller avec tant de lumière
R esplendissante qui éclaire ta beauté ?
G igantesque est l’effet que tu fais ! Mes paupières
A peine sont elles fermées que ta trace demeure,
N imbant les rêves mauves de ma nuit agitée…
E t je voudrais t’aimer avant que je ne meure !