CORINNE
C omme les grands oiseaux qui suivent les navires
O n se perdrait ravi, dans ton sillage de femme
R espirant tes effluves qui enchantent et chavirent
I nhalant ton parfum qui brûle jusqu'à l'âme
N i les vents que l'on prend, ni les bords que l'on tire!
N i les phares trompeurs ne mècheront ma flamme
E t naufragé d'amour, j'endurerai le pire !