MICHELINE
M érite-je tes lèvres, mérite-je ton corps
I rrigue-je ton ennui d’un champagne de fête
C ours-je à te courtiser tout droit à la défaite
H âte-je le dénouement en insistant encore
E ternue-je l’amour par ce désir palpable
L ibère-je au contraire tes pulsions entravées
I nitie-je des jeux que tu trouves dépravés
E t de quelle intention ton enfer est pavé ?