NADEGE |
N ’abuse pas de tes yeux ou sinon à toi gare A tant étinceler le feu finit par prendre D ans le cœur de la même l’allumant d’un regard E t de trop consumer ne laisse que des cendres G are aux yeux que l’on cherche et aux corps que l’on tente E n d’innocents clins d’œil chargés d’amours latentes
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