PAULETTE
P ourquoi garder secret ce délicieux frisson
A u fond de ma mémoire, comme un doux vent d’été
U n rien qui resurgit, les mots d’une chanson....
L a nostalgie n’est plus, dit-on ce qu’elle était!
E t ces mots qui me troublent et qui tant me troublaient
T out doucement me bercent tout comme ils me berçaient
T oujours esquissent en moi l’envie folle d’être ivre
E t de toi être gris et grisé de te vivre