ROSALIE |
|
R essentir le frisson qui me parcourt l'échine O ublier que les fleurs ont parfois des épines S avourant le bonheur qui soudain m'envahit A l'aube de tes yeux qu'un soleil a trahi L 'instant d'un regard pris au piège de mes yeux I ntrépide et furtif sensuel délicieux E perdu je me sens de toi comme ébahi
|