SEVERIN |
S i la corimancie nous espalte en calures E st-il d'autre émalon que l'on puisse occuler V errons nous les moulines de nos espadalures E t les gonphotéroses aux pardeurs azulées R emanésant nos lires en des chasmes de nures I l y aura des monges à surnir attulées N abrissant nos joulacres et nos vences épimures
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